Rapport sur l'impact du cerf de Virginie et du lièvre d’Amérique sur les boisés des îles de Miquelon et Langlade

Mis à jour le 02/05/2013

Les populations de cerf de Virginie et du lièvre d’Amérique dans les îles de Langlade et
Miquelon ont occasionné depuis plusieurs décennies une pression importante sur la végétation
entrainant des risques pour la flore indigène. Face à ce constat et suite à la mission d’expertise
en 2008, des décisions de gestion ont été prises pour réduire les populations afin de tenter
d’établir un état d’équilibre entre ces herbivores et leurs habitats permettant à moyen terme de
retrouver un écosystème ou la biodiversité serait plus présente. Parallèlement à la réduction
des populations un programme de mesures a été mis en place pour suivre les effets du gibier
sur la végétation des boisés. Vous trouverez ci-dessous les rapports techniques effectués en 2009, 2011 et 2012.